Audrey Van Landeghem nous propose un article qui sera publié dans la revue de la faculté des sciences de la motricité à l'ULB. Outre la pratique de la slack comme loisir, de plus en plus de sportifs de haut niveau l'utilisent dans leur préparation physique. L'intérêt est la grande concentration que cela demande et le travail de la proprioception et du contrôle postural. En kinésithérapie aussi on peut y voir un nouvel outil. La slack peut être un moyen d’agir sur les risques de blessures en renforçant les articulations ou de rééducation post-traumatique.
Article en annexe ci-dessous.
DOCUMENTS: